lundi 25 mars 2013

Ca commence à bien faire (bis)


Ca commence à bien faire…

Malgré le printemps, la grisaille et le froid semblent ne pas vouloir céder de terrain… Heureusement, en Alsace, nous sommes armés pour lutter contre les rigueurs du climat…


mercredi 20 mars 2013

Daktari !

Il y a 100 ans, en mars 1913, après avoir obtenu son doctorat, Albert Schweitzer s'envola pour l'Afrique Equatoriale Française afin d'y soigner la population. Né en 1875 à Kaysersberg, il s'engage dans des études de médecine puis épouse Hélène Bresslau en 1912. Théologien, penseur toujours moderne d'une éthique du respect de la vie ( de toute vie !…), musicien accompli il donnera des concerts pour financer son hôpital. Le Prix Nobel obtenu en 1953 viendra couronner une carrière faite d'efforts, d'exigence et d'Honneurs. Considéré par certains pour un Saint, cet humaniste bourru "mouille le maillot" à Lambaréné, et s'il porte bien une auréole c'est sous chaque bras. Il meurt le 4 septembre 1965 et repose désormais dans le cimetière qui jouxte son hôpital au Gabon.


http://www.schweitzerlambarene.org/

jeudi 14 mars 2013

mardi 5 mars 2013

La coiffe alsacienne


La première évocation de la coiffe alsacienne figure sur une gargouille de la cathédrale Notre Dame de Strasbourg. Si sa forme n’est pas encore complètement définie ni arrêtée,  elle présente cependant déjà l’essentiel des caractéristiques de ce grand nœud qu’arborent fièrement aujourd’hui les belles de notre région et qui les distingue avec hardiesse et élégance dans cette population ployant sous le joug d’un jacobinisme qui ne voudrait voir qu’une seule tête. Au vu de la représentation ci-dessus, on est en droit de supposer qu’à l’époque déjà les expérimentations se faisaient sur les animaux avant d’être testées sur les humains. L’animal qui a servi pour cet essai ainsi que de modèle pour la gargouille fait partie d’une espèce disparue, mi lézard mi oiseau, et on ne saurait que s’en féliciter, car nos paysages, déjà fortemment abimés par les zones commerciales et la monoculture, n’auraient pu supporter en plus la présence d’une bestiole aussi hideuse. On peut raisonnablement attribuer cette première occurence au 13 ème siècle, la coiffe est donc beaucoup plus ancienne que ce que voudraient nous faire croire certains esprits animés d’intentions suspectes.


"La belle Strasbourgeoise", tableau de Nicolas de Largillière, représente une jeune patricienne du début du 18ème siècle, ce modèle de coiffe avait pour avantage d'échapper aux écrans radar.